La genèse de la Table Onyx Paquebot France remonte loin.
Dès les années 30, Maxime fait le constat que les fameuses tables en laque de Chine ne tiennent pas leur promesse de surface parfaite offerte à l’œil et au toucher. Leur fragilité était telle qu’elles étaient immanquablement protégées d’un molleton et d’une nappe qui les dérobaient aux regards. Si, par extraordinaire, ce molleton était retiré, la laque laissait apparaître des veinures, la faute en revenant au bois qui, matériau vivant, avait joué au gré des variations de température et d’hygrométrie.
Fin des années 50 les premiers matériaux stratifiés apparaissent, Maxime en détecte le potentiel et les limites. Il les étudie et s’en fait fabriquer un, spécifique, sur son cahier des charges. Grâce à sa mise en œuvre particulière du matériau obtenu, il atteint la perfection des laques de Chine avec, en plus, la durabilité et la capacité à être repoli en cas de rayures légères.
Le style particulièrement épuré de la Table Onyx Paquebot France met pleinement en lumière les possibilités de cette innovation. Le piètement métallique pénètre le plateau et le ceinture.
Maxime présente d’abord une version carrée dite Table de Bridge, celle qui sera à bord du paquebot France Ouis il expose au Salon des Artistes Décorateurs la version Table Salle à Manger. Il l’affectionne au point d’en faire sa table à manger familiale, toujours intacte. Les deux versions sont juxtaposables de façon à composer de grandes tables festives.
Les réalisations contemporaines de la Table Bridge Paquebot France et de sa version Salle à Manger mettent en œuvre le matériau stratifié et le design inventés par Maxime. De plus, aujourd’hui, les nanotechnologies permettent de compléter son cahier des charges d’une propriété auto-réparatrice de la matière qui efface d’elle-même les micro-rayures.
Les réalisations contemporaines de la Table Onyx Paquebot France sont là !
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